OVNIS : où en est-on actuellement ?

 

OVNIS : où en est-on actuellement ?

2000002982373OVNI Série TV "Les Envahisseurs".

Les êtres humains ont probablement observé le ciel de tout temps. Outre les étoiles et les planètes auxquelles ils sont devenus habitués, ils y découvraient des phénomènes transitoires.

Écrits

Les comètes, les étoiles filantes, qui sont relatées dans les écrits ou les peintures anciennes, et qui étaient très étranges pour eux. 

Témoignages

Plus près de nous, dans les années 1950, il s’est produit une recrudescence de témoignages sur des phénomènes anormaux et incompréhensibles observés dans le ciel.

Développement

Avec le développement de l’aviation et la guerre froide entre l’URSS et les États-Unis. Ainsi est née "l’ufologie". qui a suscité immédiatement un énorme engouement de la part du public.

Kenneth Arnold

Le mardi 24 juin 1947, le pilote américain Kenneth Arnold aperçoit à bord de son avion privé une formation de neuf « objets ».

Ailes

Il les décrit comme des « ailes volantes », arrondies à l’avant et triangulaires à l’arrière, avançant d’après lui à deux fois la vitesse du son (à l’époque, aucun avion n’a encore franchi le mur du son.). 

Ajoute

Mais il ajoute qu’ils se déplacent « comme des disques ricochant sur l’eau ». 

Expression

C’est l’expression de « disques » et non celle d’ailes volantes qui est retenue, et le terme de flying saucers ou « soucoupes volantes » est inventé ! On va en voir partout aux États-Unis, puis dans le monde entier. 

Observations

Dans la semaine qui suit l’observation d’Arnold, des centaines d’observations similaires sont rapportées par des témoins, qui reprendront le terme de flying saucers pour les désigner.

Extraterrestre

Leur attribuant souvent une origine extraterrestre (il est d’ailleurs intéressant de remarquer que la forme rapportée par ces nouveaux témoignages est celle d’une « soucoupe », bien différente des ailes vues par Arnold.) 

Engins

Arnold lui-même pensait pourtant n’avoir vu que des engins expérimentaux américains ou des espions soviétiques.

Terme 

Bientôt, s’impose le terme de Unidentified Flying Object ou UFO en anglais, traduit en français par OVNI pour « objet volant non identifié ».

Ufologie 

En découle « l’ufologie », qui consiste à recueillir, analyser et interpréter toutes ces observations.

Roswell

Quelques jours après la découverte d’Arnold, le 7 juillet 1947, un fermier de Roswell au Nouveau-Mexique découvre des débris dans son pré. 

Région

Dans cette région, on a l’habitude de retrouver des morceaux de ballon-sonde, mais le fermier déclare que ce n’est pas le cas cette fois ci. 

Jesse Marcel

Le lendemain, Jesse Marcel, un officier de l’armée de l’air américaine, rapporte les débris à sa base pour qu’ils soient examinés. 

Précision

Il précise « qu’une longueur considérable de ruban adhésif et du ruban avec des fleurs imprimées dessus avaient été utilisés dans la construction » ! 

Déclaration

Un major de l’Air Force déclare le 8 juillet que ce sont bien les débris d’un ballon, et explique qu’il s’agit d’un ballon-sonde secret destiné à espionner les expériences nucléaires militaires soviétiques qui sont en préparation. 

Affaire

Exit « l’affaire de Roswell », bien que les journaux aient publié immédiatement des articles sur « la soucoupe volante extraterrestre ».

Interview

En 1978, lorsque Jesse Marcel, déclare à un ufologue venu l’interviewer, que les débris montrés à l’époque aux journalistes par le général responsable de la base n’étaient pas ceux qu’il avait apportés de Roswell, pour lui, il s’agissait indubitablement d’un vaisseau spatial. 

Récit

Notons qu’il a modifié son récit à plusieurs reprises au cours du temps. L’affaire fait cependant grand bruit, et plusieurs livres sur la question sont publiés dans les années 1980 et 1990.

Gouvernement

Invoquant de nombreux nouveaux témoignages et suggérant que le gouvernement avait volontairement dissimulé la récupération d’un OVNI. 

Crash

Plus encore, la théorie du crash de l’OVNI débouche sur l’idée que des cadavres d’extraterrestres avaient été récupérés et cachés.

Corps

Plusieurs de ces corps auraient été autopsiés, et un film réalisé dans les années 1990 et diffusé dans 27 pays « montre » ces autopsies. 

John Humphreys

Le 7 avril 2007, « L’histoire d’une fausse autopsie », explique que John Humphreys, avait créé douze ans plus tôt des créatures en latex remplies d’organes de mouton qui avaient servi pour ce film… 

Pierre Lagrange

Mais la « rumeur de Roswell », titre du livre du sociologue français Pierre Lagrange, reste aujourd’hui omniprésente dans les BD, les mangas, les romans, les films et l’imaginaire collectif.

2000002982373Un OVNI photographié aux USA en 1966. Photo Rue des Archives.

Georges Adamski

Ce remue-ménage est relayé par la publication des livres de Georges Adamski (1891-1965), tout grands succès de librairie, dans lesquels il raconte avoir été contacté en 1952 par un homme d’une incroyable beauté, Orthon le Vénusien.

Vénus

À l’époque, le peu que l’on savait de la planète Vénus permettait de telles élucubrations, tandis que maintenant, il serait difficile d’imaginer une vie, aussi intelligente, soit-elle, capable de résister à la température de 450 °C et à l’acide sulfurique de l’atmosphère de cette belle planète.

Rencontres

Mais l’idée fait son chemin, et on en arrive bientôt aux « rencontres » de différents types. En 1961, un couple Betty et Barney Hill, dit avoir été enlevé par des extraterrestres de petite taille et de couleur grise. 

Gris

Appelés par la suite les « Gris », ils deviennent un véritable mythe pour les ufologues, tandis que le récit des Hill devient un modèle pour les « enlèvements » qui suivent. 

Affaire

Vient ensuite « l’affaire Ummo » de la correspondance alléguée avec les habitants supposés d’une planète appelée Ummo Relatée en détail dans Science et pseudo-sciences en 2012

2000002982373Bd sur les OVNIS.

OVNIS

Les OVNIS déferlent également en France dans les années 1950. Cela débute avec l’observation, quelques mois après la première vague d’OVNIS observés à Washington.

Cigare

L'observation en France d’un cigare volant au-dessus d’Oloron-Sainte-Marie dans les Pyrénées.

Explication

Il possède une sorte de queue filamenteuse. Une explication est donnée par une spécialiste des araignées : il s’agirait de fils émis à l’automne par une variété d’araignées, un phénomène très connu des jardiniers. 

Essaims

Puis, dans les semaines suivantes, toute la région observe des essaims de soucoupes volantes et les journaux de la France entière en font leur une. Il est impossible de rapporter tous les OVNIS recensés par la suite, puisqu’il y en a plusieurs chaque année. 

Cas

Citons un cas d’école, celui de Trans-en-Provence le 8 janvier 1981 : un habitant voit un objet ayant « la forme de deux assiettes renversées l’une contre l’autre » se poser puis décoller.

Traces

En laissant des traces matérielles qui font l’objet d’une analyse scientifique détaillée par le Geipan. Celle-ci montre que les plantes ont subi un « stress » au voisinage de l’objet. 

Enquête 

Pour les uns, il s’agit des traces d’un engin extraterrestre, pour les autres, c’est simplement le pneu d’une bétonnière (il y en avait une.) qui a raclé le sol qui montre également plusieurs incohérences et légèretés dans l’analyse de l’affaire).

Témoins

Entre 1989 et 1991, de nombreux témoins déclarent avoir observé à différents endroits en Belgique une forme triangulaire aux angles arrondis. de quarantaine de mètres de large, avec un phare à chaque extrémité du triangle et un phare rouge au centre, se déplaçant avec peu de bruit. Pendant presque deux ans.

Vague

Des milliers d’observateurs voient des objets identiques, dont certains correspondent aussi à des échos radars, c’est ce que l’on a nommé « la vague belge ». 

Explications

Des avions F 16 sont mobilisés à plusieurs reprises pour les suivre. Diverses explications sont données, dont l’une est qu’il s’agirait d’hélicoptères évoluant dans les environs ou bien de bombardiers F 117 expérimentés par les États-Unis.

Expérimentations

Les États-Unis démentent ces expérimentations. Les observations pourraient bien correspondre aux deux types d’engins. 

Scientifiques

En fait, les scientifiques pensent qu’il s’agit d’une illusion de masse, phénomène dont nous reparlerons plus loin. 

Photographie

Durant cette vague belge paraît une photographie qui fait la une des journaux, représentant un OVNI photographié à Petit-Rechain en Belgique. 

Points

On peut y voir trois points lumineux formant un triangle, et un quatrième point lumineux inscrit dans ce triangle, ressemblant aux observations décrites. 

Supercherie

Vingt ans après, l’auteur de la photo a annoncé qu’il s’agissait d’une supercherie et que « l’OVNI » n’était fait que de frigolite (mousse de polystyrène) et de spots lumineux.

2000002982373Image d'illustration représentant un objet volant non identifié survolant une forêt. Photographie de ursatii, istock via getty images.

Denis Letty 

En 1999, un comité privé présidé par le général Denis Letty et comprenant de nombreux ingénieurs et militaires de carrière passionnés d’ufologie remet à Lionel Jospin, alors Premier ministre, un document intitulé « rapport COMETA ». 

Rapport

Ce rapport conclut à « la réalité physique quasi-certaine d’objets volants totalement inconnus… Et au vu de leurs prouesses mesurées, l’hypothèse extraterrestre paraît la plus probable.

Écho

Il a naturellement un écho médiatique et sera suivi par la publication d’un ouvrage intitulé Les OVNIS et la Défense : à quoi doit-on se préparer ? . Sans aucun doute à la guerre des étoiles !

Sceptiques

Dès le début des années 1950, de nombreux organismes s’intéressant à l’ufologie avaient vu le jour. Certains sont constitués essentiellement de ce qu’on appelle les sceptiques de l’explication extraterrestre.

Passionnés 

D’autres, beaucoup plus nombreux, d’amateurs passionnés parfois des scientifiques qui se réunissent régulièrement, produisent des rapports, investissent les médias. 

Faits

Ils se répartissent entre ceux qui cherchent surtout à établir des faits, et un courant « soucoupiste » incluant des partisans des théories extraterrestres.

Complotistes

Il s’ajoute une branche de complotistes persuadés que les gouvernements leur cachent volontairement la réalité, nous allons décrire l’un des plus importants organismes que l’on peut considérer comme « sceptique », bien qu’il se refuse à prendre position concernant les extraterrestres.

Ricaner

Dans les années 1970, il était donc devenu clair que les scientifiques ne pouvaient plus se contenter de ricaner d’un air dédaigneux en parlant des OVNIS.

Geipan

Il leur fallait répondre aux attentes du public en prenant le problème à bras-le-corps. C’est ainsi qu’en 1977 est créé au sein du Cnes (centre national d’études spatiales) le Geipan.

Analyses

Groupe d’étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés, afin d’élaborer des méthodes d’analyse scientifiques et de diffuser les résultats de ces analyses, avec si possible une explication aux observations.

Sepra 

En 1988, le Gepan est remplacé par le Sepra (Service d’expertise des phénomènes de rentrée atmosphérique), avant d’être transformé en 2005 en Geipan, le « i » ajouté au sigle Geipan insistant sur l’aspect information. 

Jean-Jacques Vélasco

Notons que la fermeture du Sepra (devenu entre-temps Service d’expertise des phénomènes rares aérospatiaux) était due au fait que son directeur, Jean-Jacques Vélasco, avait pris un peu trop fait et cause pour les OVNIS.

Ouvrage

Dans un ouvrage intitulé OVNIS, l’évidence. Ajoutons que Vélasco a aussi été un des auteurs du rapport COMETA.

Personnes

Le Geipan est constitué d’un nombre très réduit de personnes au maximum trois à plein temps plus un à mi-temps. 

Gendarmerie

Outre la gendarmerie et la police avec qui il collabore pour le recueil de témoignages, il est aidé par de nombreux enquêteurs bénévoles, et par des experts scientifiques également bénévoles (météo, photos, psychologie…).

Enquête

Ils interviennent au cas par cas. le Geipan reçoit actuellement environ 500 demandes d’élucidation par an, dont 200 donnent lieu à une enquête. 

Témoins

Ces enquêtes consistent en des interviews des témoins d’un phénomène, des enquêtes de terrain avec analyse des sols par exemple, des recherches de phénomènes météorologiques ou astronomiques, ou de passages d’avions, etc. 

Archives

Pendant ses quarante ans d’existence, une somme colossale d’archives a ainsi été rassemblée, contenant des procès-verbaux, des rapports d’expertise, des photos et des dessins, des vidéos et des enregistrements audios. 

Matériel

Tout ce matériel représente plus de 100 000 pages numérisées que le Geipan met en 2015 à la disposition du public sur Internet après les avoir anonymisées.

Phénomènes

Le Geipan préfère parler de PANs phénomènes aérospatiaux non identifiés et non d’OVNIS, car ce terme a une connotation de soucoupe ou d’extraterrestre.

Créé

Il a créé en 2008 uns des modes de classification rigoureux des phénomènes PAN, qui sont rangés en cinq catégories, A, B, C et D1 et D2.

Classification

La classification s’appuie sur l’évaluation de l’étrangeté et de la consistance, deux notions définies de façon précise.

Cas

Les cas A consistent en des quasi-preuves de non-existence d’un OVNI, les cas B ont des explications probables, les C sont les cas inexploitables par manque de données, enfin les cas D sont étranges (D1) ou très étranges (D2). 

Observations

Les cas classés D font en général l’objet d’une enquête de terrain avec rencontre d’un ou plusieurs témoins, sans qu’elle ne permette d’avancer une explication aux observations rapportées. 

2000002982373© PhotoVision (CC0 Creative Commons).

Résultats

Environ 35 % sont des cas de la classe C, inexploitables par manque de données, et 60 % sont classés A ou B et expliqués par des méprises ou des erreurs de perception, ou même des canulars.

Canulars

Nous avons parlé déjà de certains canulars, dénoncés en général très longtemps après les observations : ceux-ci ont donc eu le temps d’imprimer des traces durables dans les esprits, on a vu ainsi le canular de la « vague belge ». Rappelons un autre qui a fait couler beaucoup d’encre, celui de Bélesta. 

Bélesta

Le 16 octobre 1954, les habitants de ce village d’Ariège aperçoivent une lumière qui semble provenir d’un objet très brillant caché par le bord de la montagne. 

Objet

L’objet monte dans le ciel, redescend, apparaissant et disparaissant plusieurs fois de suite, bientôt suit un deuxième objet, puis un troisième. Ils disparaissent tous au bout d’une heure environ. La Dépêche du Midi titre « Boules lumineuses évoluant durant une demi-heure en une ronde magique ». 

Cas

Le cas devient un classique de l’ufologie. C’est seulement au bout de 56 ans que trois personnes avouent que c’était un canular qu’ils avaient fabriqué à partir de lampes électriques…

Méprises

Dans les méprises, les témoins racontent ce qu’ils ont vu et qu’ils n’ont pas réussi à expliquer eux-mêmes. Ils l’appellent alors OVNI parce que presque tout le monde autour d’eux croit aux ovnis et parle d’OVNIS. 

Observations

Mais on peut souvent ramener ces observations à des phénomènes astronomiques (de simples planètes comme Vénus ont été prises pour des OVNIS.

Impression

« L’impression d’une très grande vitesse peut être due à des phénomènes de réflexion, ou d’images, fantômes » dans le ciel liées à une inversion de température, images qui peuvent apparaître ou disparaître instantanément, de plus, il est bien connu que nos sens nous trompent facilement. 

Estimation

On sait par exemple que l’estimation des vitesses, des distances et des tailles est loin d’être fiable, de nombreuses personnes sont persuadées que le soleil est beaucoup plus gros lorsqu’il est près de l’horizon.

Illusion

Alors que le changement de taille produit par la réfraction (vertical seulement) est très faible et à peine visible à l’œil, il s’agit d’une illusion due au fait qu’on puisse alors comparer la taille du soleil à celle d’objets bien connus comme des arbres ou des collines.

Cas D

Enfin, les cas D représentent seulement 2 % de l’ensemble, mais ce sont eux qui attirent l’attention du public. 

Méthodologie

Notons que pendant les trente premières années, ils représentaient 10 % de l’ensemble, et que la proportion a diminué considérablement depuis la mise au point de la nouvelle méthodologie.

Conclusion 

Bien entendu, on peut conclure que 2 % de phénomènes inexpliqués, qui correspondent à deux cas par an, c’est énorme, puisque, à la limite, un seul cas avéré d’extraterrestres entraînerait à lui seul une révolution sur tous les plans.

Explications

Sur les plans Philosophique, scientifique, technique, sociologique, etc. Pour le moment, il faut se contenter de penser qu’on trouvera plus tard les explications de ces phénomènes.

Neurosciences

Cependant, une idée qui gagne du terrain avec le développement des neurosciences est que ces cas ressortent de processus psychologiques, qui peuvent d’ailleurs également expliquer des méprises. Différents phénomènes entrent en jeu, il y a celui bien connu maintenant de la reconstruction des souvenirs. Nous les modifions en nous les remémorant. 

Événements

Nous pouvons ainsi être conduits à nous souvenir d’événements que nous n’avons jamais vécus, et à croire fermement à ces faux souvenirs.

Hallucinations 

Dans le même ordre d’idées, les hallucinations sont très courantes, bien qu’on s’imagine à tort qu’elles impliquent toujours des pathologies. 

Facteurs

Tous ces facteurs peuvent se combiner pour fabriquer un ensemble culturel et médiatique auto-entretenu grâce au développement de la culture de l’étrange au goût pour les pseudo-sciences et au complotisme, activés par le développement de l’Internet et des réseaux dits sociaux. 

Photo

Le cas de la photo de Beert est l’un des plus caractéristiques de cette dérive psycho-sociologique, en novembre 1975, le journal belge publie une photographie représentant un « OVNI » qui lui a été envoyée par cinq personnes, et demande si d’autres personnes l’ont aperçu. 

Journal

Le journal est assailli de coups de fil de témoins qui ont vu le même objet. Après quelques jours, les cinq personnes reconnaissent que la photo de l’OVNI est fausse. 

Visite 

Donc, jusqu’à maintenant, nous n’avons pas encore la réponse à la question de la visite sur Terre d’une forme de vie extraterrestre intelligente, du moins par l’interprétation des OVNIS.

Initiative Breakthrough Listen

Aurons-nous la réponse avec le projet Initiative Breakthrough Listen qui vise à rechercher leurs traces, non pas sur Terre, mais dans des signaux reçus de l’espace (lancé en 2015 par le milliardaire russe Youri Milner et à l'époque, soutenu par les cosmologistes britanniques Stephen Hawking et Martin Rees) ?

Réponse

Réponse : sans doute dans dix ou vingt ans…

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